Fukiishi Mayu

-Prénom: Mayu
-Age: 16
-Lieu de naissance: Besaid
-Race: guado
-Spécialité: mage blanc
-Armes: Baton

-Avatar :
Une jeune fille pâle et frêle. Elle possède une longue chevelure argenté qui lui tombe sur les épaules.

-Histoire
J'étais faible, inutile, peureuse... enfin... je le suis peut-être toujours... un peu...
J'ai toujours été ainsi à force d'être bloqué dans mon cocon familial.
D’ailleurs mon prénom vient de là. Tu te souviens ? Mayu » ça signifie « cocon »

Quand je faisais face à une difficulté, je ne sais pas mais... je crois que j'avais peur...
Peur d'échouer, peur de décevoir et... peur de souffrir.
Tu me disais toujours que c'était stupide alors je faisais mine d'être en colère
mais au fond je savais que tu avais raison. J'aurais voulu être plus forte...

Mais quel importance ? Toi tu était toujours là et je n'avais plus peur quand on était
ensemble ! On s'amusait bien, hein ?

Mais tu te souviens de ce jour ? Le jour où tu m'as dit que tu comptais rentrer dans Le Centre.
Ce jour là, j'étais triste car je savais que je ne pourrais pas te suivre.
Cette voie était trop différente de ce que j'étais...

Alors tu m'as dit avec ta bonne humeur habituel que ce n'était pas grave,
que nos chemins finiraient forcement par se recroiser un jour.

Tu as aussi ajouté que tu savais qu’un jour où l’autre, je t’y rejoindrais
Car c’était le meilleur endroit pour atteindre mon rêve :
Celui de devenir mage blanc.

Tu avais ton rêve.
J’avais le mien.

On s'est promis d'y arriver alors, quand parfois je trouve ça trop difficile
et qu'il me vient l'envi de tout abandonner, je repense à cette promesse.
Me voilà prête à me rendre au Centre.
Et je sais que je n'abandonnerai pas avant d'avoir atteint mon but !

Mais le temps a passé et je me demande si cette promesse est toujours dans ton coeur.
Si je pouvais te revoir...
On pourrait être comme ce jour où l'on s'est fait cette promesse...
Dans ce même lieu, comme autrefois...
On parlerait de nos nouvelles vies...
et on se ferait une nouvelle promesse !
Je continuerai à y croire !